La recette
Il existe sur le marché plusieurs types de paillis destinés à l’hydro-ensemencement. Paillis de cellulose, paillis de bois, et même paillis synthétiques. La différence entre tous ces paillis n’est que leur durée de vie utile. Par contre, ils ont en commun d’être un assemblage de fibres qui sert à retenir tous les autres ingrédients au sol. Ils agissent comme un filet. C’est ce filet qui lie les graines au sol tout en liant aussi l’humidité nécessaire aux graines pour germer. Ce n’est pas tout, une fois stabilisé, le paillis sert aussi de protection contre le ruissellement qui entrainerait autrement les semences et creuserait des sillons au sol.
Celles-ci sont au centre du processus. Il s’agit habituellement des mêmes semences que celles utilisées pour l’implantation d’une pelouse ordinaire. Pourtant, on pourrait, à votre guise, utiliser n’importe quelle sorte de semences. Pelouses traditionnelles, mélanges d’ombre, naturalisation, prés fleuris, milieux humides, la limite est votre imagination.
Puisque l’environnement nous tient à cœur, notre nouveau bâtiment, situé au 480, 2e Avenue, Parc-Industriel, à Sainte-Marie, est équipé d’un système de récupération de l’eau de pluie. C’est donc autant que possible avec cette eau de qualité que nous faisons l’aspersion des terrains.
Cet ingrédient n’est nécessaire que pour les endroits en talus. Il s’agit d’une sorte de colle qui renforcit l’effet liant du paillis et limite l’érosion des zones instables.
Bien qu’il n’est pas nécessaire, l’ajout au mélange d’engrais donne un coup de pouce supplémentaire lors de la croissance des graines et rend les plantules plus résistantes.
Étape 1

Étape 2

Étape 3
